Polémique sur le calendrier référence
Pour bien comprendre, il est nécessaire d’intégrer comment la numérologie « fonctionne ».
Cette dernière permet de « connaître » une personne par l’intermédiaire de son nom et de sa date de naissance qui ne sont, en dernière analyse que des outils de communication adaptés au lieu et à l’époque.
La numérologie utilise le langage symbolique des archétypes qui pré-existent dans leur essence mais varient dans leur forme, tout comme les nombres existaient avant leurs graphismes.
C’est un premier point.
En second lieu, l’homme ne dépend pas des nombres mais communique subconsciemment à travers eux ; le prénom d’un enfant par exemple, semble être choisi par les parents alors que l’âme de l’enfant leur insuffle.
Une date de naissance est un choix de l’âme, tout comme son nom et pour se faire, elle utilisera le système calendaire en vigueur pour communiquer au monde qui elle est, et ce qu’elle a à faire ici bas.
Le monde ayant opté pour un système christocentrique par défaut et ce, quel que soit l’exactitude du point zéro, l’âme pratiquera son langage.
Si demain, le référent temporel changeait, l’âme s’adapterait ; le temps n’est qu’une dimension, un repère. Les mathématiques l’expriment très bien par, justement, les changements de repère qui n’affectent jamais l’objet repéré.
Un même mot peut être exprimé dans des langues différentes sans en altérer le sens, notre calendrier, de même, est un vecteur de forme mais pas de fond.